Dossier spécial sur les stations de peinture Wagner ControlPro

Grâce à cette récente innovation technologique, les artisans peintres et les bricoleurs vont enfin pouvoir profiter des avantages combinés des technologies airless et basse pression en un seul appareil. Voici notre dossier spécial Wagner ControlPro.

Stations de peinture ControlPro HEA: la technologie airless haute performance

Une révolution est-elle en train de se profiler sur le secteur de la peinture professionnelle? C’est en tout cas ce que promet le fabricant de pulvérisateurs allemand Wagner. Mise sur le marché depuis quelques mois, la technologie airless haute performance “HEA – High Efficiency Airless” connait un fort succès auprès des bricoleurs ambitieux et des peintres semi-professionnels. Ce type de machines peut en effet travailler à basse pression (80 bar au lieu des 150 bar habituellement utilisés en pulvérisation de peinture classique) tout en conservant les caractéristiques principales de la technologie airless (gain de temps et finitions qualitatives entre autre).

Controlpro

Les avantages de la technologie HEA

Selon Wagner, les bénéfices de la pulvérisation HEA sur la pulvérisation haute pression classique sont:

– une économie de peinture jusqu’à 35%

– une réduction de l’overspray (c’est-à-dire le brouillard de pulvérisation) de l’ordre de 55%

– une usure ralentie de la buse de peinture

– une durée de vie plus longue et des coûts d’entretien plus bas de l’équipement

Ce type d’appareils s’adresse avant tout aux particuliers en quête d’une machine performante pour leurs travaux de peinture à un prix très attractif: toutes les laques, les lasures, les protections pour bois, les peintures latex et les peintures à dispersion peuvent ainsi être pulvérisées facilement pour un rendu professionnel.

Les pompes HEA ControlPro chez Airless Discounter

Airless Discounter est un des plus grands revendeurs d’équipements et d’accessoires de peinture airless en Europe. Depuis sa création en 2006, la société ne cesse de croitre grâce à sa boutique en ligne, mais aussi grâce à son atelier de réparation et à son magasin d’exposition à Berlin. Hormis les milliers de produits disponibles à prix compétitifs, Airless Discounter affiche son expertise et promulgue de nombreux conseils techniques.

Deux modèles de pompes HEA Control Pro 350 Extra peuvent d’ores et déjà être achetés sur la boutique en ligne Airless Discounter: celui sur chariot de transport et celui sur châssis. Tous les accessoires nécessaires à une prise en main immédiate (pistolet de peinture, buses, filtres, etc …) sont inclus avec chaque machine.

Détails techniques des pompes ControlPro Extra:

  • débit maximal: 1,5 l/min
  • pression de travail maximale: 110 bar
  • taille de buse maximale: 0.019”

ControlPro 350 Wagner

Pour toute demande ou information supplémentaire au sujet de ces nouveaux produits, contactez Airless Discounter ou consultez le blog d’actualités airless.

Apprentissage jusqu’à 30 ans : l’expérimentation s’étend à de nouvelles régions

Un décret du 20 mars 2017 élargit l’expérimentation sur l’apprentissage jusqu’à 30 ans, menée dans certains régions depuis le 1er janvier, à l’Île-de-France et à l’Occitanie.

Un décret oublié au Journal officiel du 22 mars enrichit la liste des régions dans lesquelles l’âge limite d’entrée en apprentissage peut être fixé, à titre expérimental, à 30 ans (contre 25 ans en principe). SOnt désormais concernées l’Île-de-France et l’Occitanie. Sous l’impulsion de la loi « Travail » d’août 2016, un décret du 31 décembre 2016 avait déjà autorisé cette expérimentation dans sept régions : la Bretagne, la Bourgogne-Franche-Comté, le Centre-Val de Loire, le Grand Est, les Hauts-de-France, la Nouvelle-Aquitaine et les Pays de la Loire.

 

Un dispositif ouvert à toutes les entreprises exerçant dans les régions volontaires

Applicable depuis le 1er janvier 2017, cette mesure en faveur de l’emploi vise en outre à prendre en compte la sortie plus tardive de la scolarité, les changements d’orientation professionnelle ou encore les souhaits de spécialisation des apprentis. Les jeunes pourront donc, jusqu’à leurs 30 ans révolus, entrer en apprentissage dans les CFA BTP des régions volontaires. Toutes les entreprises formant leurs apprentis sur le territoire ouvert à l’expérimentation y auront ainsi accès.

 

Ce dispositif est mis en place jusqu’au 31 décembre 2019. Le gouvernement rendra ensuite compte au Parlement, dans un rapport, des enseignements tirés des expérimentations. De quoi envisager, le cas échéant, une généralisation dans tout l’Hexagone de cet accès tardif à l’apprentissage.

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TOUPRET PROPOSE SANEO : LE PREMIER ENDUIT DÉPOLLUANT

Toupret Concept Saneo
Toupret Concept Saneo

 

Les enduits TOUPRET SANEO disposent d’une technologie qui purifie l’air intérieur en détruisant jusqu’à 100% des molécules de formaldéhydes. Une solution adaptée à tous les chantiers pour se conformer à la future réglementation sur la qualité de l’air intérieur dans les ERP.

La qualité de l’air intérieur est un enjeu majeur imposé dans le cadre des lois de Grenelle 1 et 2, particulièrement pour les ERP. Pour répondre à ces nouvelles règlementations, Toupret propose Sanéo, la première gamme d’enduits qui capte entre 65 et 100 % des molécules de formaldéhyde*. Considéré comme cancérigène par l’OMS, le formaldéhyde provient notamment des fumées (tabac, bougies, cuisinières à gaz), des meubles et matériaux de construction, des colles et adhésifs, des tissus d’ameublement, produits d’entretien ménagers mais aussi des revêtements de sols et murs.
Appliqué sur les murs et plafonds, SANEO de Toupret capte et détruit cette molécule nocive pour la santé.

 

Proposé en application manuelle ou mécanisée, SANEO est adapté à tous les chantiers, en neuf comme en rénovation. Il est efficace dès les premières heures d’application et conserve toutes ses propriétés lorsqu’il est recouvert. Grâce à un effet garanti pendant toute la durée de vie du produit (jusqu’à 60 ans quand il est appliqué brut sur les quatre murs de la pièce), l’utiliser dès aujourd’hui c’est anticiper sur la réglementation et agir dans l’intérêt de tous. En choisissant d’agir dès aujourd’hui avec un produit de préparation des murs actif pendant 60 ans, les bureaux d’études anticipent la mise aux normes de 2018.

La gamme SANEO c’est quatre enduits et trois outils d’application adaptés à toutes les configurations et toutes les tailles de chantier.

Elle comprend :

  • un enduit en pâte PLANEO, idéal en rénovation, disponible en 2 versions :
    • PLANEO G 2 EN 1 (garnissant) : Enduit de rénovation en pâte applicable avec les outils traditionnels ou les outils Planéo System
    • PLANEO F (finition) : Enduit de finition en pâte applicable avec les outils traditionnels ou les outils Planéo System

 

  • pour les chantiers neufs, Airspray Finish un enduit autolissant idéal pour une application Airless plus rapide et efficace

 

SANEO BÉTON MURAL, un concept résolument nouveau de rénovation et décoration applicable avec les outils Planéo System

 

TOUPRET PLANEO G 2 EN 1 SANEO
TOUPRET PLANEO G 2 EN 1 SANEO
GAMME TOUPRET PLANEO SANEO
GAMME TOUPRET PLANEO SANEO

 

TOUPRET SANEO BETON MURAL
TOUPRET SANEO BETON MURAL

La FFB confirme le scénario de reprise économique mais reste prudente

La Fédération française du bâtiment maintient sa prévision de croissance de l’activité de 3,4 % en volume en 2017. 10 000 emplois devraient être créés dans le secteur. La reprise repose avant tout sur le neuf, souligne la Fédération, qui s’inquiète de la panne du marché de la rénovation, et des marges « au plus bas » des entreprises.

Cette fois, le rebond de l’activité dans le bâtiment a de vrais airs de reprise économique dans un secteur qui la guette depuis 2008. Lors de son point de conjoncture trimestriel, ce mercredi 29 mars, la Fédération française du bâtiment (FFB) a confirmé s’attendre à une accélération de l’activité en volume cette année, avec une hausse attendue de 3,4 %.

Une hausse qui sera essentiellement alimentée par la construction neuve, où le non-résidentiel (avec des autorisations en hausse de 4,2 % et des mises en chantiers qui bondissent de 6,7 % en glissement annuel sur trois mois à fin février) se cale désormais dans la roue du logement (permis en hausse de 15,5% sur la même période ; mises en chantier qui gonflent de 8,5 %).

 

Inégalités territoriales

 

Avec une réserve de taille, toutefois : l’embellie est très inégale sur le plan territorial. « 80 % des chantiers restent concentrés dans et autour des 20 % de communes et métropoles qui sont déjà très dynamiques, signale Jacques Chanut, le président de la FFB. Le neuf ne suffira pas à alimenter le redémarrage sur tout le territoire. Il faut s’occuper des territoires qui se sentent à l’abandon, comme les petites villes qui se vident de leurs habitants. »

 

La deuxième bonne nouvelle pour le secteur, c’est que cette dynamique va profiter à l’emploi : la FFB prévoit une solde net de 10 000 postes cette année. Il s’agira pou beaucoup de contrats d’intérim, comme le montre le premier graphique du ministère du Travail, ci-dessous. Mais la volonté des chefs d’entreprises d’embaucher en CDI ou CDD long est également prégnante. Le tout confirme le rebond de l’emploi, dans le sillage d’une année 2016, qui s’étaient conclue par un retournement positif de croissance, à +1,9 % en volume. Les effectifs du bâtiment s’étaient stabilisés l’an passé, après 35 600 pertes d’emplois 2015.

Autre motif de satisfaction, les défaillances d’entreprises sont en net recul (-13,5 %) sur 2016, « même si nous partons de très haut », tempère Jacques Chanut. Le rythme de recul des prix, lui, se tasse. « Mais les prix sont encore à un niveau trop faible pour permettre aux entreprises de redresser leurs marges », analyse le président de la FFB, qui se réjouit toutefois de « la fin de la descente aux enfers » dans ce domaine.

 

Taux d’intérêt et présidentielle

 

L’optimisme inspiré par l’addition de ces bonnes nouvelles reste néanmoins teinté de prudence à la FFB, où plusieurs risques et points de vigilance sont mis en avant. Outre une remontée trop brutale des taux d’intérêts, le plus évident tient à la période électorale et, surtout, aux contenus des programmes des candidats à la présidentielle, qui « ne permettent pas de lever les inconnues qui pèsent sur 2018. Les différents candidats ont presque tous renoncé en la matière à un objectif chiffré global, tout en insistant sur la permanence et la diversité des besoins en fonction des territoires », constate Jacques Chanut.

De fait, si des projets chiffrés de créations de logements sociaux et étudiants pour le prochain quinquennat figurent dans les programmes, la question globale du logement avait été davantage au cœur des campagnes précédentes, de la « France de propriétaires » promise par Nicolas Sarkozy en 2007 aux 500 000 constructions neuves par an visées par François Hollande en 2012. Et bien que désormais orientées à la hausse, les mises en chantier de logement n’ont finalement atteint « que » 387 000 unités sur douze mois en février.

 

La rénovation fait du surplace

Second motif d’inquiétude, le second moteur de l’activité, la rénovation, reste au quasi point mort. Un constat qui interroge : la reprise des transaction dans l’ancien depuis 2014 aurait dû, en théorie, déclencher une vague de travaux d’amélioration-entretien. Il n’en a rien été. « L’effondrement des travaux avant relocation pour le segment du locatif privé, ainsi que la faible évolution des prix du marché (+0,7 % en 2016 et +0,9 % en glissement annuel sur le dernier trimestre), ne laissent guère percevoir d’amélioration dans l’immédiat », analyse Jacques Chanut. Les chefs d’entreprise ne perçoivent pas eux-mêmes d’inflexion positive.

Pour ranimer le marché, le président de la FFB juge nécessaire de « recalibrer et d’amplifier les dispositifs d’incitation financière existants » aux travaux de rénovation, centrés sur la rénovation énergétique (CITE, éco-PTZ). Et de revoir la pédagogie, et, même, le positionnement : « Il faut être pragmatiques. L’argument selon lequel les travaux de rénovation énergétique sont financés par de dutures baisses de charges ne fonctionne pas et a généré beaucoup de désillusions dans nos rangs. La réorientation de ces aides sera un sujet de discussion avec le prochain gouvernement », confie le patron de la FFB. Il plaide en parallèle pour le maintien des dispositifs Pinel et PTZ. D’autres sujets de discussions, là encore, avec le futur gouvernement.

 

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Six projets innovants sélectionnés pour optimiser la gestion des déblais du Grand Paris Express

La Société du Grand Paris et l’Ademe Île-de-France ont révélé mercredi 29 mars, lors du Salon des maires d’Île-de-France, les solutions développées par les lauréats de l’appel à projets « le Grand Paris des déblais », lancé en octobre 2016. 74 candidatures ont été déposées. Six projets ont été retenus, et un septième a reçu le Prix « coup de cœur » du jury.

 

Portés par des start-up, des associations ou des consortiums d’entreprises, les projets retenus par la société du Grand Paris et l’Ademe Ile-de-France dans le cadre de l’appel à projets « Le Grand paris des déblais », couvrent l’ensemble du cycle de vie des déblais, de leur caractérisation à leur revalorisation.

Les lauréats, désignées par un jury composé de Philippe Yvin, président du directoire de la SGP, Joëlle Colosio, présidente de la direction régionale Île-de-France de l’Ademe et Didier Dousset, président de l’Agence régionale de l’environnement et des nouvelles énergies (Arene) d’Île-de-France, vont maintenant expérimenter in situ leurs solutions sur les chantiers, pendant des périodes allant jusqu’à six mois. La Société du Grand Paris et l’Ademe fourniront l’appui technique et méthodologique.

 

Les six lauréats de l’appel à projets « le Grand Paris des déblais »

Le groupe NGE et sa filiale Guintoli, pour la solution « Diagnosol Express ».

Diagnosol Express est un dispositif innovant de caractérisation et de gestion des déblais qui permet d’évaluer avec fiabilité les risques de présence de polluants dans les déblais. Cette technologie s’appuie sur une analyse Big Data permettant, en amont de l’excavation, de prévoir la présence d’éléments polluants et sur une analyse in-situ des matériaux excavés. L’objectif est de réduire la durée de caractérisation des matériaux et d’améliorer ainsi le processus de gestion des déblais. »

 

Cemex et Innofreight, pour leur solution « Schéma logistique d’évacuation des déblais du Grand Paris par train ».

Cette solution, qui s’inscrit dans la continuité de l’engagement de la Société du Grand Paris à diversifier les modes de transports pour les déblais, s’appuie sur l’utilisation de wagons étanches et un système breveté de retournement des caisses afin d’optimiser l’utilisation des flux ferroviaires servant à l’évacuation des déblais. Les wagons ainsi vidés et nettoyés pourront être réutilisés pour alterner les chargements de différents types de déblais, ainsi que la mise en place de flux retour.

 

Séché Eco-Services et Hoffmann JB Technologies, pour leur solution « ProVaDBat».

Ce procédé de revalorisation des déblais en matériaux de construction intègre une phase de caractérisation des déblais pour les recycler et les orienter vers les lieux de réutilisation. Les matériaux de construction pourront être utilisés pour différentes applications : parking, sous-couches routière, mobilier urbain.

 

Terbis et ETPO, pour leur solution « SOLPUR ».

De nombreuses carrières souterraines délaissées peuvent servir d’exutoires à des terres ayant subi un traitement leur conférant les qualités géotechniques nécessaires. Solpur permet de combiner deux enjeux majeurs pour le développement du Grand Paris : l’évacuation des déblais de chantiers et la mise en sécurité des nombreuses anciennes carrières souterraines.

 

Valorhiz, pour la solution « TerraGenese® ».

Elle permet la création de terre fertile à partir de déblais stériles et de sources de matières premières organiques. Le résultat de ce mélange peut être utilisé dans une démarche d’éco-conception, pour tous les projets d’aménagements nécessitant un support de culture : fosse de plantation, parc urbain, grand paysage, agriculture urbaine…

 

Joly&Loiret (architectes), deWulf (entrepreneur de matériaux) et le centre de recherche amàco, pour leur solution du «déblai à la brique de terre crue ».

Elle consiste à transformer les déblais de chantier en briques de terre crue pour le bâtiment. Pendant l’expérimentation, les entreprises mettront en place une petite ligne de production mécanisée et conduiront des tests techniques pour certifier le matériau. À terme, l’objectif est de tester en conditions réelles le matériau et le mettre en œuvre dans un bâtiment.

Une septième solution s’est distingué. Elle fera l’objet d’un accompagnement conjoint de l’Ademe Île-de-France et de la Société du Grand Paris. La solution « 1er km à câble » prévoit d’installer un système de transport des déblais par câble temporaire, démontable et réutilisable, pour acheminer les déblais du lieu d’extraction au lieu de transfert. Ce projer est porté par les entreprises S’Paces SA, Mazaud, VINCI et Veolia.

 

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