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TOUPRET PROPOSE SANEO : LE PREMIER ENDUIT DÉPOLLUANT

Toupret Concept Saneo
Toupret Concept Saneo

 

Les enduits TOUPRET SANEO disposent d’une technologie qui purifie l’air intérieur en détruisant jusqu’à 100% des molécules de formaldéhydes. Une solution adaptée à tous les chantiers pour se conformer à la future réglementation sur la qualité de l’air intérieur dans les ERP.

La qualité de l’air intérieur est un enjeu majeur imposé dans le cadre des lois de Grenelle 1 et 2, particulièrement pour les ERP. Pour répondre à ces nouvelles règlementations, Toupret propose Sanéo, la première gamme d’enduits qui capte entre 65 et 100 % des molécules de formaldéhyde*. Considéré comme cancérigène par l’OMS, le formaldéhyde provient notamment des fumées (tabac, bougies, cuisinières à gaz), des meubles et matériaux de construction, des colles et adhésifs, des tissus d’ameublement, produits d’entretien ménagers mais aussi des revêtements de sols et murs.
Appliqué sur les murs et plafonds, SANEO de Toupret capte et détruit cette molécule nocive pour la santé.

 

Proposé en application manuelle ou mécanisée, SANEO est adapté à tous les chantiers, en neuf comme en rénovation. Il est efficace dès les premières heures d’application et conserve toutes ses propriétés lorsqu’il est recouvert. Grâce à un effet garanti pendant toute la durée de vie du produit (jusqu’à 60 ans quand il est appliqué brut sur les quatre murs de la pièce), l’utiliser dès aujourd’hui c’est anticiper sur la réglementation et agir dans l’intérêt de tous. En choisissant d’agir dès aujourd’hui avec un produit de préparation des murs actif pendant 60 ans, les bureaux d’études anticipent la mise aux normes de 2018.

La gamme SANEO c’est quatre enduits et trois outils d’application adaptés à toutes les configurations et toutes les tailles de chantier.

Elle comprend :

  • un enduit en pâte PLANEO, idéal en rénovation, disponible en 2 versions :
    • PLANEO G 2 EN 1 (garnissant) : Enduit de rénovation en pâte applicable avec les outils traditionnels ou les outils Planéo System
    • PLANEO F (finition) : Enduit de finition en pâte applicable avec les outils traditionnels ou les outils Planéo System

 

  • pour les chantiers neufs, Airspray Finish un enduit autolissant idéal pour une application Airless plus rapide et efficace

 

SANEO BÉTON MURAL, un concept résolument nouveau de rénovation et décoration applicable avec les outils Planéo System

 

TOUPRET PLANEO G 2 EN 1 SANEO
TOUPRET PLANEO G 2 EN 1 SANEO
GAMME TOUPRET PLANEO SANEO
GAMME TOUPRET PLANEO SANEO

 

TOUPRET SANEO BETON MURAL
TOUPRET SANEO BETON MURAL

Pour optimiser votre rendement, Toupret lance les solutions chantiers

Toupret G et Toupret F : 2 nouvelles références pour enduire en plein conçus avec des entreprises partenaires.

LES SOLUTIONS CHANTIERS

Véritable enjeu économique sur les chantiers, une bonne préparation ainsi qu’un choix de matériaux judicieux permettent de gagner en efficacité. Élaboré en étroite collaboration avec des entreprises partenaires sur des chantiers neufs ou de rénovation, LES SOLUTIONS CHANTIERS de Toupret s’adresse aux entrepreneurs souhaitant optimiser la phase d’enduisage sur le terrain. Toupret G, Enduit G Garnissant et Toupret F Enduit F Finition sont spécialement conçus pour s’adapter aux différentes habitudes des pros et aux contraintes rencontrées sur les chantiers. Formulés pour une prise en main rapide, ils s’appliquent manuellement.

« Ce sont des enduits qui sont bien adaptés aux conditions de chantier parce qu’on peut les travailler longtemps sur le support sans risque d’arrachement, et en supprimant les côtes et défauts. L’absence d’odeur a permis à mes clients de réintégrer rapidement leur logement. Des clients satisfaits et pour moi une expérience à renouveler ! » témoigne Kosta Kocovski, artisan en charge de la rénovation.

L’enduit Garnissant

Destiné à aplanir et uniformiser les supports endommagés, le nouvel enduit Garnissant en poudre de TOUPRET offre un excellent pouvoir couvrant. Grâce à sa formule, l’enduit G recouvre efficacement les défauts des murs dégradés avec un très bon pouvoir opacifiant.

L’enduit Finition

Complément idéal de l’enduit Toupret Garnissant pour un résultat soigné, l’enduit de Finition se caractérise par un grain très fin permettant d’obtenir une surface parfaitement lisse. Avec une épaisseur d’application jusqu’à 2 mm en intérieur, il offre un rendu irréprochable.

Tous deux applicables sur des supports intérieurs neufs ou rénovés, bruts ou peints, les enduits en poudre G et F sont faciles à préparer. Ils bénéficient d’une excellente glisse, et d’un temps ouvert long, permettant de resserrer la matière sans arrachement et d’éliminer les défauts d’enduisage, tout en limitant l’action de ponçage. Sans odeur, ils sont adaptés pour une utilisation en milieu occupé pour le confort de tous.

TOUPRET G Enduit Garnissant pour enduire en plein
TOUPRET G
TOUPRET F Enduit Finition pour enduire avant peinture
TOUPRET F

Ces grands couturiers de la peinture

Ils créent, décorent, restaurent ou redonnent vie à notre patrimoine. Gardiens d’un savoir-faire et même parfois résistants aux évolutions normatives, ces deux peintres en décor — l’Atelier Eschlimann et l’Atelier Camuset — nous ouvrent les portes de leur métier.

De Erstein dans le Bas-Rhin au VIIe arrondissement de la capitale, elles ont l’amour de la restauration, du décor et un savoir-faire ancestral chevillé au pinceau. La preuve : ces deux entreprises, l’Atelier Eschlimann et l’Atelier Camuset , sont labellisées Entreprise du Patrimoine Vivant. Elles sont aussi toutes les deux porteuses d’une transmission familiale. « J’ai repris l’entreprise de mon père qui l’avait lui-même héritée de mon grand-père. Dès l’âge de 12 ans, je passais toutes mes vacances sur les chantiers. Franchement ? J’aurais préféré être en congés comme tous les enfants de mo, âge. Mais au final, mes parents m’ont appris le goût du travail », concède Christophe Eschlimann. D’abord destinée à la mode, Clotilde Camuset finit par contracter le virus de la peinture décorative et rejoint son père qui a créé l’Atelier il y a près de 35 ans après des études à l’Institut supérieur de peinture décorative Van Der Kelen Logelain de Bruxelles.

« Nous sommes dans une sorte de niche et nous travaillons dans des bâtiments d’exception ». En effet, les deux ateliers partagent un portfolio de références de prestiges : de l’Assemblée Nationale, en passant par les salles égyptiennes du Musée du Louvre à Paris, les salles monumentales du Casino de Monaco, la restauration des décors de la Cathédrale de Beauvais ou de Notre-Dame de Chartres. Parmi tand d’autres. L’atelier Camuset comme l’Atelier Eschlimann perpétuent tous deux des gestes séculaires et un savoir-faire de tradition. Mais pas toujours sans contraintes.

 

Peinture à l’huile et brosse à badigeon

 

« Nous sommes partenaires des décorateurs et avec eux, nous créons et leurs apportons un savoir-faire. Un des avantages de ce métier est que nous sommes « touche à tout ». Nous ne réalisons pas deux fois le même chantier et nous sommes amenés à développer nos métiers en permanence, à faire évoluer dans les tendants du moment des traditions anciennes comme les enduits décoratifs », reprend Clotilde Camuset. Pour ce métier de peinture en décor, les deux spécialistes s’accordent à le dire : il faut avoir le coup de main. « Une bonne préparation des fonds est primordiale pour avoir un bon décor. En plus du dessin, il faut maîtriser toutes les techniques et avoir le sens de la couleur. Un peinture en décor crée ses mélanges, ses peintures », ajoute Clotilde Camuset. Entre l’alchimiste et l’apothicaire, il continue d’utiliser des produits traditionnels pour des chantiers de tradition. « Par exemple, nous travaillons la feuille d’or. elle demande à être patinée afin que son rendu final reflète l’esprit ancien », précise Christophe Eschlimann.

« Nous utilisons également de la peinture à l’huile sur les boiseries. Il faut savoir la tirer afin qu’elle ne crée par un aspect peau d’orange. Cette technique se perd et un non initié aura tendance à la diluer ». Il faut aussi composer avec des normes er des règlementations toujours plus draconiennes. « Pour  un chantier, je vais devoir acheter une armoire de sécurité juste pour stocker un litre d’essence de térébenthine et trois litres d’huiles de lin », illustre Christophe Eschlimann.

En outre, évolution des peintures oblige, certains outils tendent à disparaître. « Je ne trouve plus de brosse à badigeon, regrette Christophe Eschlimann. Une vraie brosse doit être montée main comme un pinceau. Or en France, il n’y a qu’un seul fabriquant qui en propose encore ». Et comme pour de nombreux chantiers, « nous devons composer avec des délais qui sont parfois de vrais défis, confie Clotilde Camuset. Parfois en atelier, nous menons des recherches de matières et de créations, qui vont être longues et laborieuses, parfois sans retombée. » Mais face à tous ces aléas, l’un comme l’autre ne retiennent qu’une chose : un plaisir sans cesse renouvelé sur des chantiers et des recherches à chaque fois uniques.

 

Des projets tant techniques que créatifs

« Notre métier est épanouissant », ajoute Clotilde Camuset. « Comparé au milieu de la mode que j’ai connu auparavant, il existe une véritable mixité sociale et des relations humaines fortes. Nous sommes aussi en quelque sorte dans la haute couture de la décoration face à des projets qui sont tout autant techniques que créatifs et particulièrement valorisants ». À l’instar de la rénovation du très sélect Hostellerie de Plaisance à Saint-Émilion (33) réalisée avec le cabinet Alberto Pinto. « Nous avons été très fiers de travailler pour eux et de participer à la renaissance de ce lieu. Nous avons notamment exécuté des enduits décoratifs surdimensionnés, exceptionnels et uniques ! ».

L’enthousiasme est le même pour Christophe Eschlimann quand il évoque la restauration du théâtre du château de Fontainebleau (77). Inauguré en 1857 par Napoléon III, il n’avait servi que huit fois puis laissé à l’abadon en 1868 avant de rouvrir ses portes… en 2014. « Très peu utilisé donc très peu modifié, nous avons eu un réel plaisir à le restaurer ainsi qu’à travailler avec l’architecte en chef des Monuments Historiques Patrick Ponsot, comme avec de nombreux autres maîtres d’œuvre de grande qualité. » Alors à la question de savoir quelle réalisation a été la plus marquante, les deux spécialistes répondent : « toutes ! ». Et on veut bien les croire.

 

Retrouvez cet article sur Reflets et Nuances.

Travaux de finition : suivez le guide !

Quand les travaux de finition ne sont pas effectués dans les meilleures conditions, les entreprises y laissent souvent des plumes. Entre autres dégâts : une baisse de productivité et de marge, et un réputation ternie. Pour remédier à ce problème, l’Union professionnelle des métiers de la finition (UPMF-FFB) a élaboré un guide (disponible en version papier et en version numérique) à destination de ses adhérents. Composé d’un plan chronologique rappelant les grandes étapes des travaux de finition et les points de vigilance, cet outil est un allié précieux pour éviter les écueils et maintenir la bonne santé de son activité.

 

Éviter les désordres, atteindre les objectifs et retrouver les marges : autant de nœuds gordiens pour bon nombre d’entreprises quand celles-ci se lancent dans un chantier de finition. Par manque de vigilance, de méthode ou de préparation, les déconvenues sont légion et l’issue parfois problématique. Devant ce constat, l’Union professionnelle des métiers de la finition (UPMF-FFB) a décidé de réagir en publiant un guide pratique sur le sujet. Intitulé « Maîtriser les conditions d’exécution des travaux de finition étape par étape » et destiné à l’encadrement administratif et technique, cet outil didactique et simple d’utilisation propose d’accompagner les entreprises vers une meilleure exécution de leurs travaux de finition, en leur rappelant les différentes actions à respecter pour une gestion efficace d’un chantier.

« Ce guide est une synthèse de tous les éléments qu’il faut prendre en compte, tant sur le plan administratif que sur le chantier en lui-même, explique Nicolas Blangy, co-auteur de l’ouvrage et directeur de l’entreprise Muretsol, qui emploie une centaine de personnes à Amiens (Somme). Il s’agit d’un outil pratique pensé par des professionnels expérimentés pour des chefs d’entreprise, disponible en version papier et en version numérique permettant de travailler en mobilité et en mode collaboratif. »

 

Un guide, deux version et plusieurs options

Globalement, le document présente le déroulement chronologique d’un chantier de finition, de la commande jusqu’à la clôture du dossier de l’entreprise. Ce plan, sorte de listing des actions à valider, permet au dirigeant de déléguer à ses compagnons la responsabilité des actions à mener, en fonction de leurs compétences. «Libre à chacun d’insérer le plan chronologique, personnalisé ou non, en première page des dossiers de travaux dans la version papier, ou d’utiliser la version numérique afin d’améliorer le suivi et la maîtrise de chaque phase », ajoute Nicolas Blangy.

Le gain d’efficacité n’est pas la seule promesse de la version numérique du document, qui autorise une personnalisation complète : l’entrepreneur peut, par exemple, cocher les tâches accomplies, partager ses commentaires avec ses compagnons, et suivre la réalisation de plusieurs chantiers de finition en même temps.

Précisément, le vade-mecum détaille les huit grandes étapes d’un chantier de finition avec, pour chacune d’elle, une fiche détaillée. Toutes bâties sur le même modèle pour aider l’utilisateur à se repérer plus facilement, les fiches détaillent les objectifs de l’étape en cours, les bonnes pratiques, les documents de référence utiles, le mode opératoire à mettre en œuvre sans oublier les points de vigilance, signalés comme autant de situations à risque pour l’entreprise. Les points de vigilance font état du degré d’urgence et de l’augmentation du risque encouru à l’avancée du chantier par un code couleur (vert, orange, rouge — visible uniquement sur la version numérique. Par exemple, dans l’étape 1 (Préparation administrative du chantier), le point «Exigences de caution bancaire, retenue de garantie – Garantie de paiement (marchés privés) » apparaît en vert à douze mois de l’intervention et en rouge à soixante jours de son démarrage. Idem, pour le point « Vérification des conditions d’accès, d’approvisionnement et de stockage du matériel sur le chantier » (étape 2, Préparation à la réalisation du chantier), qui est en vert quarante jours avant le début des travaux et en rouge à J-5.

Notons qu’il arrive aussi qu’une étape fasse l’objet de plusieurs fiches. C’est le cas de l’étape 3 qui s’intéresse au volet pour le moins sensible « impacts et interfaces avec les autres corps d’état è et qui repose sur les fiches 5 (Réunions de chantier), 6 (Reconnaissances des supports) et 7(Impacts liés au malfaçons et dégradations des autres corps d’état).

 

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