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Opération « Peintres du sourire » : un très beau résultat

Ce sont 13 000 journées de formation qui ont été financées par l’opération de solidarité « Peintres du sourire », au bénéfice d’enfants défavorisés du Cambodge. Le beau score de cette 8e édition qui s’est déroulée du 2 novembre au 13 décembre 2016 a été obtenu grâce à l’implication des adhérents UGD/Club’ONIP et des entreprises de peinture qui ont acheté les produits des partenaires 2016 de l’opération. La remise officielle du chèque à l’association « Pour un sourire d’enfant »(PSE) a eu lieu le 16 mars. Objectif 2017 : 15 000 journées !

 

Retrouvez cet article sur Reflets et Nuances.

Aide à l’embauche PME : prolongée jusqu’au 30 juin 2017

Un décret acte la prolongation et l’ouverture aux groupements d’employeurs de l’aide à l’embauche PME.

L’aide à l’embauche PME, qui devait s’interrompre le 31 décembre 2016, est finalement prolongée pour les contrats conclus jusqu’au 30 juin 2017.

Elle permet aux entreprises de moins de 250 salariés de bénéficier d’une aide pour le recrutement d’un salarié dont le tau horaire de rémunération est inférieur ou égal à 1,3 SMEC horaire, soit 12,69 € en 2017 sous réserve :

  • d’une embauche en CDI ou en CDD d’au moins six mois ;
  • et que la date de début d’exécution du contrat soit comprise entre le 18 janvier 2016 et le 30 juin 2017.

L’aide d’un montant de 500 € par trimestre est versée pendant la durée d’exécution du contrat et dans la limite de 4 000 € (deux ans).

Le formulaire de demande d’aide ainsi qu’un questions-réponses sont disponibles sur le site dédié du ministère du travail.

 

Groupement d’employeurs

Afin de lever les freins au développement des groupements d’employeurs, ces derniers peuvent désormais demander le bénéfice de certaines aides dont leurs entreprises adhérentes auraient bénéficié si elles avaient embauché directement les personnes mises à leur disposition.

La liste des aides accessibles aux groupements d’employeurs est fixée par arrêté ministériel : il s’agit notamment de :

  • la prime à l’apprentissage ;
  • l’aide au recrutement d’un premier apprenti ;
  • l’aide au recrutement d’un apprenti supplémentaire ;
  • l’aide en faveur des très petites entreprises embauchant des jeunes apprentis ;
  • les exonérations de cotisations dues au titre de l’emploi des apprentis ;
  • l’aide à l’embauche d’un premier salarié ;
  • l’aide à l’embauche dans les petites et moyennes entreprises ;
  • l’aide relative au contrat de génération.

Le groupement d’employeurs qui souhaite bénéficier d’une de ces aides devra justifier auprès de l’organisme payeur (Agence de services et de paiement) que l’enteprise adhérente en remplit les conditions d’attribution.

 

Source : Bâtiment actualité, n°1, 25 janvier 2017.

Apprentissage dans le bâtiment : les raisons du malaise

Après plusieurs années de fortes baisses, les premiers chiffres de la rentrée dans les CFA du réseau CCA-BTP restent très bas, malgré les besoins identifiés en emplois qualifiés dans les entreprises et les aides que l’État a consenties pour relancer l’apprentissage. Le niveau d’activité ne suffit plus à expliquer cette tendance et les raisons sont probablement à rechercher ailleurs.

Le constat 

Quatre raisons principales expliquent que les entreprises du bâtiment se soient progressivement désengagées de formations préparant aux premiers niveaux de qualification :

  • la chute de l’activité et le durcissement des conditions économiques ont imposé aux entreprises des efforts de productivité supplémentaires ;
  • les chefs d’entreprise déplorent majoritairement que les formations professionnelles ne préparent pas suffisamment les jeunes au métier, ce qui les rend moins opérationnels ;
  • il est indéniable aussi que de plus en plus de chefs d’entreprise évoquent leur « ras-le-bol » pour tout ce qui concerne l’emploi, et particulièrement celui des mineurs ;
  • on constate enfin une évolution des pratiques des entreprises, qui privilégient désormais la souplesse et la réactivité pour faire face aux aléas de leurs marchés, ce qui les conduit à externaliser davantage l’emploi peu qualifié et à développer plutôt leur encadrement, y compris par la voie de l’apprentissage.

Les certitudes sur l’accompagnement de la prise en charge complètement ce tableau.

Que faire pour réhabiliter l’apprentissage, autrefois voie royale d’entrée dans le bâtiment, comme une voie de formation à part entière ?

La FFB formule six propositions très concrètes :

  • assouplir la réglementation sur la durée du travail des mineurs pour permettre aux chefs d’entreprise d’appliquer aux apprentis l’organisation du travail de l’entreprise ;
  • prendre en compte systématiquement l’apprentissage dans les clauses d’insertion des marchés publics ;
  • faciliter le développement des titres professionnels par la voie de l’apprentissage, notamment aux premiers niveaux de qualification, et permettre aux branches professionnelles de décider par accord de branche, la préparation de certificats de qualification professionnelle (CQP) par la voie de l’apprentissage ;
  • expérimenter de nouvelles modalités de financement des CFA pour que se développent des parcours de formation individualisés et modularisés, dont la durée, notamment, soit ajustée au public ;
  • pérenniser le soutien aux entreprises pour conforter le rôle des maîtres d’apprentissage ;
  • intégrer les formations obligatoires (habilitations électriques, Caces, amiante…) à la formation initiale des jeunes pour les rendre plus vite opérationnels.

Il faut aider les entreprises à maintenir leur effort de formation pour favoriser l’entrée et l’insertion des jeunes dans la vie active, leur permettre d’acquérir le métier dans les meilleurs conditions et les faire progresser.

Il faut, au demeurant, permettre que les entreprises conservent en leur sein leur savoir-faire, leurs compétences pour les transmettre aux plus jeunes, ceux qui demain prendront la relève. Il ne s’agit pas seulement d’une question de nombre de contrats d’apprentissage.

Les rencontres de la peinture anticorrosion : 6e édition

Organisées par la Commission peinture de Cefracor et l’OHGPI (Office d’homologation des garanties de peinture industrielle), la 6e édition des Rencontres de la peinture anticorrosion aura lieu le 22 mars 2017 au Parc Floral de Paris. Sous le thème « Préparations de surface, techniques et impacts environnementaux », quatre ateliers seront animés par des experts : « Le décapage des peintures au plomb », « Mise en peinture des substrats/primaires riches en zinc : galvanisation, métallisation, peinture (silicate er époxy) », « Comment bien aborder la protection de béton par peinture » et « Décapage UHP : retour d’expériences (Marine) et perspectives ».

La source de cet article.

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Collecte des déchets de peinture

C’est au CFA de La Valentine que le nouveau président du Syndicat aménagement, peinture, finitions de la Fédération des Bouches-du-Rhône, François Duverger, a organisé au mois de novembre dernier sa première réunion. À cette occasion, une grande opération de collecte de pots de peinture a été mise en place par la FBTP13 et le Service environnement et métiers de la Fédération régionale PACA avec deux filière possibles soit l’élimination des pots vides ou inutilisables, pris en charge par SARPI VEOLIA soit le recyclage des pots neufs ou réutilisables par les CFA d’Aix-Les Milles et de La Valentine.

Au total, quatre entreprises ainsi que le CFA de La Valentine ont été éliminé 5 367 kg de déchets essentiellement de peinture, colles et enduits. Les CFA ont pu récupérer en plus de ce volume collecté par SARPI, un total de 1 763 kg de peintures et colles qu’ils pourront réutiliser mais aussi du carrelage et une dizaine de rouleaux de revêtements muraux.

L’opération prise en charge financièrement par le Syndicat a été très appréciée par les adhérents qui ont ainsi pu vider leurs ateliers des pots encombrants tout en faisant bénéficier les CFA de matériaux réutilisables pour leurs formations.

Vous pouvez retrouver cet article ici.