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Chantier zéro carbone = 2 000 arbres plantés

En proposant à son client la démarche zéro carbone initiée par l’Association recherche qualité environnementale (ARQE), l’entreprise PPB Peintec a permis de limiter l’impact environnemental du chantier et aussi de compenser une partie des gaz à effet de serre émis par la plantation de 2 000 arbres à Madagascar.

Un chantier de rénovation énergétique de grande ampleur pour une copropriété située rue de Lançon à Paris : changement des fenêtres, isolation des toitures-terasses, mise en place d’une VMC, remplacement de la chaudière avec eau chaude sanitaire solaire et pose d’une isolation thermique par l’extérieur (ITE). Chantier auquel a participé activement la société PPB Peintec avec la mise en place des 2 000 m2 d’ITE (système laine de roche de 18 cm d’épaisseurs sous enduits).

 

Démarche Recherche qualité environnementale (RQE)

Outre son expertise technique, la société a apporté un plus original pour ce projet déjà à forte responsabilité environnementale : « Plutôt que de proposer une remise commerciale pour décrocher le chantier, nous avons proposé au maître d’ouvrage de valoriser ses actions par la mise en place d’un chantier zéro carbone dans le cadre de la démarche Recherche qualité environnementale (RQE), explique Dyane de Mourgues Lesage, direcrice de PPB Peintec (94). Nous lui avons proposé de véhiculer une image verte du projet et de communiquer largement autour de leur copropriété. »

Une proposition qui a été acceptée par le Conseil syndical, car évidemment pour qu’un tel projet puisse s’engager le maître d’ouvrage doit être moteur, mais pas seulement : « Un chantier zéro carbone implique une prise de conscience de tous les acteurs de l’opération : le client mais aussi les entreprises, les partenaires (échafaudages, cantonnements, fournisseurs de peinture…) ou encore l’architecte. C’est une vraie démarche de responsabilité environnementale et « sociétale » qui pour nous s’inscrit dans le cadre de la RSE de l’entreprise, c’est un engagement de tous », précise Dyane de Mourgues Lesage.

 

Cinq critères RQE

Il s’agit donc de s’intéresser à tous les aspects d’une opération : choix des produits, organisation, méthodologie. Mettre en place un chantier zéro carbone selon les critères du label RQE fait appel à cinq points fondamentaux définis dans la charte de l’association : préserver le capital humain, réduire les risques de pollution, gérer et valoriser les déchets, favoriser les économies d’énergie et générer de la richesse. Pour exemple, concernant le capital humain  : « En hiver, lorsqu’il n’est pas possible de travailler à l’extérieur, nos compagnons partent en formation. Ils approfondissent leurs connaissances sur la sécurité au travail, le montage des échafaudages, l’application de diverses techniques de ravalement ou de peinture ».

Su le chantier de la rie de Lançon, les aspects produits et organisation ont été travaillés : « la technique d’ITE que nous avons utilisée n’est pas innovante. La laine de roche a été choisie, plus proche d’une action écologique que d’autres produits. » Mais c’est surtout son approvisionnement qui fait l’objet d’une réflexion : « Un plan de transport et de livraison a été élaboré pour réduire au minimum l’impact carbone du chantier. Ainsi, compte tenu de la surface de stockage sur place, nous avons fait le choix avec nos partenaires de livrer la laine de roche et la colle en quatre fois, un transport direct entre le fabricant et le chantier. La livraison, étape habituellement obligatoire par le grossiste, a pu être évitée. »

Autres aspects travaillés sur site, le stockage et la manutention : « Les terrasses à disposition se sont vite remplies étant donné les 22 palettes de laine de roche. » Toujours en concertation avec les fournisseurs et partenaires de l’opération (Akzo Nobel et Layher), l’entreprise a cherché des solutions répondant aux cinq critères de la charte RQE. Résultat, mise en place d’une sapine et une grue grande portée : « Cela nous a permis de stocker les palettes de  laine de roche sur une nouvelle surface, de limiter et d’optimiser la manutention et donc de gagner du temps et de réduire le coût financier de l’opération. » Le même type d’action a été proposé pour les finitions : « Nous avons utilisé des colles en poudre conditionnées dans des sacs en papier à diluer sur place, moins onéreuses que des préparations en pâte, prêtes à l’emploi, contenues dans des seaux en plastique. Mais une réflexion doit s’engager pour étudier le recyclage des sacs. »

 

Compensation carbone

La démarche RQE repose également sur la compensation, à savoir qu’une quantité donnée de carbone émise dans un endroit peut être « compensée » par une réduction ou la séquestration d’une quantité équivalente dans un autre lieu. « Bien que nous mettions tout en œuvre pour avoir l’impact carbone le plus faible possible, — produits et procédures spécifiques pour le transport des matériaux et l’organisation de chantier — cela ne suffit pas à atteindre l’objectif zéro carbone. » Pour y parvenir, l’entreprise dispose d’un outil, Carbone 4, développé par l’association RQE avec l’aide de l’Ademe et d’un partenaire : « La calculette K permet, après avoir suggéré des pratiques vertueuses, d’évaluer et de calculer l’impact carbone restant, afin de proposer, par la suite, une compensation. » Laquelle consisite à financer un projet de réduction des gaz à effet de serre. Pour le chantier de la rue Lançon, celle-ci s’est traduite par la plantation de 2 000 arbres à Madagascar avec le concours de l’agence de l’eau Paris Rhin Rhône et de l’association ETC Terras. Les objectifs ont été réalisés : « Grâce à ces arbres nous atteignons le zéro carbone. »

 

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Revêtements pertinents en établissements scolaires

Les espaces dédiés à l’enseignement sont soumis à des contraintes réglementaires mais également pédagogiques, contraintes auxquelles les revêtements de sols et de murs peuvent apporter des réponses.

 

Dans les établissements consacrés à l’enseignement, de la petit enfance jusqu’aux études supérieure, les aménagements intérieurs doivent répondre à de nombreux critères imposés non seulement par les normes et les règlements mais également par la destination particulière des locaux. Le choix des revêtements en la matière est loin d’être anodin. Outre un bon comportement à l’usage indispensable dans la mesure où il est soumis à des trafics intenses, le revêtement de sol se doit de contribuer à l’ambiance générale des lieux, tout en assurant la sécurité des utilisateurs. Ce qui implique des performances de résistance et de tenue dans le temps, une facilité d’entretien et des qualités assurant des conditions de travail optimales aux élèves comme aux enseignants. Le tout en contribuant à une ambiance visuelle agréable.

 

Tenue à l’usage

 

Va et vient des élèves, risques multiples de détériorations ou poinçonnement statique dû aux mobiliers, les sols en milieux scolaire sont mis à rude épreuve, dans les salles de classes comme dans les circulations. La réponse est majoritairement apportée par les revêtements résilient, le PVC étant le plus prescrit, devant le linoluem. Grâce à des caractéristiques qui sont proches de celles d’un PVC, la moquette floquée est parfois utilisée, mais plus rarement.

Le premier critère qui va guider le choix du prescripteur est le classement UPEC du revêtement qui détermine poiniçonnement, de la tenue à l’eau et au agents chimiques. Répondant au classement des locaux eux-mêmes, il variera selon la destination des lieux : salle de classe, circulation, salle de travaux plastiques, cantine… Ainsi, la notion de poinçonnement sera déterminante en salle de cours en raison des pieds de chaises et de tables tandis que les caractéristiques de tenue à l’eau et aux agents chimiques l’emporteront en salle de physique chimie. Dans un couloir ou à la cantine, la notion d’usure prévaudra en y ajoutant une performance d’isolation phonique.

 

Hygiène et confort

Toutefois, d’autres critères doivent être pris en compte, en particulier celui de l’entretien. La fréquence et le nombre de passages mais également la négligence, voire le non respect des lieux par les élèves, mettent les sols à rude épreuve. Leur facilité d’entretien est donc d’une grand importance. À cet égard, les industriels ont mis au point depuis longtemps des traitements de surface pour les sols en PVC et, plus récemment, pour le linoleum. Intégrées au revêtement, ces solutions ont un caractère permanent qui évite une métallisation à la mise en service et avec un renouvellement périodique. En comblant ses micros aspérités, la surface devient parfaitement lisse ce qui réduit les possibilités d’encrassement et facilite l’entretien ultérieur. Le traitement est souvent associé à une protection contre les rayures. Par ailleurs, pour accompagner leurs produits, les fabricants ont mis au point des protocoles d’entretien qu’ils fournissent à la maîtrise d’ouvrage. Ces protocoles prévoient des méthodes et fréquences spécifiques en fonction des zones concernées car toutes ne subissent pas le même trafic ni le même écrasement. L’entretien est un moyen de préserver la performance technique du revêtement de sol afin d’obtenir le niveau d’hygiène attendu et de conserver ses qualités esthétiques et visuelles originelles.

Le traitement acoustique est un autre facteur d’un aménagement intérieur réussi en établissements d’enseignement. Ce point est d’ailleurs réglementé par un arrêté d’avril 2003. Si le sol n’est pas seul en la matière à devoir être pris en compte, ce n’est pas moins un élément important. Une acoustique mal gérée nuira à la qualité de l’enseignement, affectera le comportements des élèves en favorisant l’agitation et la nervosité, donc en réduisant l’attention nécessaire à la concentration. C’est par ailleurs un facteur de fatigue et de stress pour l’enseignant. Associé à la conception du plafond, le revêtement de sol contribue à l’absorption nécessaire pour optimiser la réverbération des sons et assurer la bonne intelligibilité des échanges de paroles. Installé dans les circulations ou dans une cantine, le revêtement a un rôle d’isolation phonique au bruit d’impact et sa structure devra concilier amortissement et tenue au poinçonnement. Le certificat NF UPED A+ sera alors un bon point de référence pour le prescripteur.

 

Envoyer les couleurs

Reste pour le concepteur à soigner l’esthétique des locaux, avec la difficulté qui découle des exigences d’un budget généralement très serré. C’est pourtant un élément très important car la vision joue un rôle particulier chez les individus dans leur système de perception de l’environnement. Elle a des répercussions sur les comportements et influence les manières d’être ou de réagir. D’où l’importance de la couleur : elle revêt une dimension psychologique, peut provoquer des réactions d’ordre physiologique ou émotionnel et influencer le comportement d’une personne dans une situation donnée. L’association de certaines harmonies permet ainsi de produire des états particuliers. Le concepteur devra donc tenir compte de la fonctionnalité des espaces qu’il doit aménager et des besoins de ses différents utilisateurs. L’ambiance colorée est déterminante comme élément d’ambiance, d’orientation, de stimulation, d’accessibilité, de concentration et de bien-être. Le rôle des couleurs est aussi primordial dans les processus de différenciation, de personnalisation et d’humanisation des espaces.

En milieu scolaire, la couleur différencie, oriente et rassure les élèves. Elle est un vecteur pour expérimenter, découvrir et apprendre. La palette sera composée de tons saturés plutôt sourds avec des ponctuations de couleurs vives. Dans les petites classes, il conviendra d’utiliser les harmonies primaires et secondaires qui permettent de dynamiser les espaces et de créer un environnement « anti morosité ». Au contraire, les salles de repos d’une école maternelle devront présenter des couleurs apaisantes. Au collège et au lycée, dans les salles de cours, les teintes retenues seront assez neutres et calmes car plus propices à la réflexion et à l’attention.

L’usage de la couleur et les calepinages ont également un rôle de signalétique pour les plus grands leur permettant de retrouver leur chemin ou d’identifier un étage lors des déplacements entre différents cours. Pour les plus petits, ce sont des repères marquant les différentes zones, y compris au sein d’une même pièce. Les systèmes de découpes avec incrustations de motifs et de logos sont alors un très bon argument.

 

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Ces grands couturiers de la peinture

Ils créent, décorent, restaurent ou redonnent vie à notre patrimoine. Gardiens d’un savoir-faire et même parfois résistants aux évolutions normatives, ces deux peintres en décor — l’Atelier Eschlimann et l’Atelier Camuset — nous ouvrent les portes de leur métier.

De Erstein dans le Bas-Rhin au VIIe arrondissement de la capitale, elles ont l’amour de la restauration, du décor et un savoir-faire ancestral chevillé au pinceau. La preuve : ces deux entreprises, l’Atelier Eschlimann et l’Atelier Camuset , sont labellisées Entreprise du Patrimoine Vivant. Elles sont aussi toutes les deux porteuses d’une transmission familiale. « J’ai repris l’entreprise de mon père qui l’avait lui-même héritée de mon grand-père. Dès l’âge de 12 ans, je passais toutes mes vacances sur les chantiers. Franchement ? J’aurais préféré être en congés comme tous les enfants de mo, âge. Mais au final, mes parents m’ont appris le goût du travail », concède Christophe Eschlimann. D’abord destinée à la mode, Clotilde Camuset finit par contracter le virus de la peinture décorative et rejoint son père qui a créé l’Atelier il y a près de 35 ans après des études à l’Institut supérieur de peinture décorative Van Der Kelen Logelain de Bruxelles.

« Nous sommes dans une sorte de niche et nous travaillons dans des bâtiments d’exception ». En effet, les deux ateliers partagent un portfolio de références de prestiges : de l’Assemblée Nationale, en passant par les salles égyptiennes du Musée du Louvre à Paris, les salles monumentales du Casino de Monaco, la restauration des décors de la Cathédrale de Beauvais ou de Notre-Dame de Chartres. Parmi tand d’autres. L’atelier Camuset comme l’Atelier Eschlimann perpétuent tous deux des gestes séculaires et un savoir-faire de tradition. Mais pas toujours sans contraintes.

 

Peinture à l’huile et brosse à badigeon

 

« Nous sommes partenaires des décorateurs et avec eux, nous créons et leurs apportons un savoir-faire. Un des avantages de ce métier est que nous sommes « touche à tout ». Nous ne réalisons pas deux fois le même chantier et nous sommes amenés à développer nos métiers en permanence, à faire évoluer dans les tendants du moment des traditions anciennes comme les enduits décoratifs », reprend Clotilde Camuset. Pour ce métier de peinture en décor, les deux spécialistes s’accordent à le dire : il faut avoir le coup de main. « Une bonne préparation des fonds est primordiale pour avoir un bon décor. En plus du dessin, il faut maîtriser toutes les techniques et avoir le sens de la couleur. Un peinture en décor crée ses mélanges, ses peintures », ajoute Clotilde Camuset. Entre l’alchimiste et l’apothicaire, il continue d’utiliser des produits traditionnels pour des chantiers de tradition. « Par exemple, nous travaillons la feuille d’or. elle demande à être patinée afin que son rendu final reflète l’esprit ancien », précise Christophe Eschlimann.

« Nous utilisons également de la peinture à l’huile sur les boiseries. Il faut savoir la tirer afin qu’elle ne crée par un aspect peau d’orange. Cette technique se perd et un non initié aura tendance à la diluer ». Il faut aussi composer avec des normes er des règlementations toujours plus draconiennes. « Pour  un chantier, je vais devoir acheter une armoire de sécurité juste pour stocker un litre d’essence de térébenthine et trois litres d’huiles de lin », illustre Christophe Eschlimann.

En outre, évolution des peintures oblige, certains outils tendent à disparaître. « Je ne trouve plus de brosse à badigeon, regrette Christophe Eschlimann. Une vraie brosse doit être montée main comme un pinceau. Or en France, il n’y a qu’un seul fabriquant qui en propose encore ». Et comme pour de nombreux chantiers, « nous devons composer avec des délais qui sont parfois de vrais défis, confie Clotilde Camuset. Parfois en atelier, nous menons des recherches de matières et de créations, qui vont être longues et laborieuses, parfois sans retombée. » Mais face à tous ces aléas, l’un comme l’autre ne retiennent qu’une chose : un plaisir sans cesse renouvelé sur des chantiers et des recherches à chaque fois uniques.

 

Des projets tant techniques que créatifs

« Notre métier est épanouissant », ajoute Clotilde Camuset. « Comparé au milieu de la mode que j’ai connu auparavant, il existe une véritable mixité sociale et des relations humaines fortes. Nous sommes aussi en quelque sorte dans la haute couture de la décoration face à des projets qui sont tout autant techniques que créatifs et particulièrement valorisants ». À l’instar de la rénovation du très sélect Hostellerie de Plaisance à Saint-Émilion (33) réalisée avec le cabinet Alberto Pinto. « Nous avons été très fiers de travailler pour eux et de participer à la renaissance de ce lieu. Nous avons notamment exécuté des enduits décoratifs surdimensionnés, exceptionnels et uniques ! ».

L’enthousiasme est le même pour Christophe Eschlimann quand il évoque la restauration du théâtre du château de Fontainebleau (77). Inauguré en 1857 par Napoléon III, il n’avait servi que huit fois puis laissé à l’abadon en 1868 avant de rouvrir ses portes… en 2014. « Très peu utilisé donc très peu modifié, nous avons eu un réel plaisir à le restaurer ainsi qu’à travailler avec l’architecte en chef des Monuments Historiques Patrick Ponsot, comme avec de nombreux autres maîtres d’œuvre de grande qualité. » Alors à la question de savoir quelle réalisation a été la plus marquante, les deux spécialistes répondent : « toutes ! ». Et on veut bien les croire.

 

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« Nous avons à coeur de redonner des lettres de noblesse à des métiers plus manuels »

« En tant que ville ayant un établissement comme le lycée Jacques Le Caron, c’est important d’être au plus proche de ce lycée en sachant que tous ces jeunes qui passent ici ne sont pas des jeunes qui ont décroché ou sont là par défaut, au contraire.

Nous avons à coeur de redonner des lettres de noblesse à des métiers plus manuels, à les revaloriser. Nous sommes donc derrière pour que la ville soit attractive pour les jeunes. Cela fait partie de notre mission que d’avoir une ville qui est accessible aux jeunes avec des pass jeunes, des cartes étudiantes pour qu’ils bénéficient de choses plus ludiques. Ils doivent faire leurs études à Arras et partir avec un vrai diplôme, une vraie formation, un vrai bagage. On a à cœur d’entretenir de très bonne relation avec l’établissement, c’est pour cela d’ailleurs qu’on met des moyens et des chantiers en place pour que les jeunes puissent mettre concrètement à profit ce qu’ils apprennent. Je parlais tout à l’heure des chalets sur le marché de Noël, d’interventions dans les écoles pour remettre en peinture des couloirs ou des classes, etc.

Cette relation avec le proviseur du lycée donne un sens à la politique que mène Monsieur le maire et l’équipe municipale pour que les jeunes puissent se former et avoir un métier au bout du compte. Et encore une fois pour qu’ils soient bien dans ce qu’ils ont décidé de faire, que ce ne soit pas un choix par défaut. »

 

Evelyne Beaumont, Adjointe déléguée à l’éducation de la mairie d’Arras, lors de la rencontre régionale d’Arras le 23 mars 2017.

 

Déchets du BTP : de nouveaux points de collecte chez des distributeurs

Depuis le 1er janvier, les distributeurs professionnels de matériaux, produits et équipements de constructions doivent d’organiser pour reprendre les déchets du BTP. Cette mesure concerne les distributeurs destinés aux professionnels, qui disposent d’une surface supérieure à 400 m2 et dont le chiffre d’affaires annuel est supérieur ou égal à un million d’euros. Le point de collecte devra être situé sur leur site ou dans un rayon de 10km. Dans la plupart des cas, ce service sera payant.

 

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