Si les phases aqueuses ont conquis l’intérieur avec des résultats plus que probants, certains supports restent exigeants selon leur destination, leur nature ou leur environnement. Et sans impression adaptée, finition ne rimera pas avec qualité.
Tous s’accordent à le dire. Avant de peindre un support, il faut le reconnaître, le préparer, et surtout, choisir la bonne impression, « sans être avare sur la qualité », précise François Legay, responsable technique du marketing chez Freltag (PPG AC EMEA). Même son de pot chez Daw France : « tous les fabricants ont développé des impressions spécifiques par typologie de support. Il faut suivre ces préconisations, en particulier avec les phases aqueuses pour une qualité supérieure et optimales dans le sens du client », confirme Norbert Brunn, directeur du service technique. Certes, en intérieur, les supports divers obligent à varier les impressions, « mais une fois qu’elles ont fait le lien avec la finition, il est possible de réaliser un ouvrage uniforme », ajoute Partick Verlhac, directeur laboratoire de qualité bloque les fonds, les rend homogènes « et améliore l’aspect des finitions en diminuant les reprises », ajoute François Legay. « Une finition ne sert pas d’impression. Et même une peinture moyenne de gamme sera adhérente si on applique une impression de qualité. Il faut donc mettre le prix », confirme Patrick Verlhac. Et mettre en œuvre le bon produit.
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